ROMANCES SANS PAROLES - V | PIANO, PECKED BY FRAIL FINGERS ... | ||||||||||||||||
Paul Verlaine | trans. James Kirkup | ||||||||||||||||
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vaguement, Tandis qu'avec un très léger bruit d'aile Un air bien vieux, bien faible, et bien charmant Rôde discret, épeuré quasiment, Par le boudoir longtemps parfumé d'Elle. Qu'est que c'est que ce berceau soudain Qui lentement dorlote mon pauvre être? Que voudrais-tu de moi, doux chant badin? Qu'as tu voulu, fin refrain incertain Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre Ouverte un peu sur le petit jardin? |
of wings an old-fashioned tune
enchanted with her perfumes.
you sweet, playful melody?
ajar on the small garden? |
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Trans. copyright © James Kirkup 2001