PARSIFAL | PARSIFAL |
Paul Verlaine | trans. A.S.Kline |
Parsifal a vaincu les Filles, leur gentil Babil et la luxure amusante - et sa pente Vers la Chair de garçon vierge que cela tente D'aimer les seins légers et ce gentil babil; Il vaincu la Femme belle, au coeur subtil, Étalant ses bras frais et sa gorge excitante; Il a vaincu l'Enfer et rentre sous sa tente Avec un lourd trophée à son bras puéril, Avec la lance qui perça le Flanc suprême! Il a guéri le roi, le voici roi lui-même, Et prêtre du très saint Trésor essentiel. En robe d'or il adore, gloire et symbole, Le vase pur où resplendit le Sang réel. - Et, ô ces voix d'enfants chantant dans la coupole! | Parsifal has conquered the girls, their sweet Chatter, amusing lust – and his inclination, A virgin boy’s, towards the Flesh, tempted To love the little tits and gentle babble; He’s conquered lovely Woman, of subtle Heart, showing her cool arms, provoking breast; He’s conquered Hell, returned to his tent, With a weighty trophy on his boyish arm. With the lance that pierced the sacred Side! He’s cured the king, here he’s king, abides, And priest of the quintessential holy Treasure. Worships in golden robes, a symbol, glory’s home, Vessel where the true Blood shines, the pure, - And, O those children’s voices singing in the dome! |
Trans. Note: The last line is quoted by Eliot, in French, in The Wasteland
Trans. Copyright © A.S.Kline 2007